Cette fois, c’est la fin. Les courants du Flux, qui relient les systèmes stellaires de l’Interdépendance, s’effondrent les uns après les autres. Il n’est plus question de douter de la réalité du problème, aussi les riches et les puissants se trouvent-ils contraints de changer leur fusil d’épaule : au lieu de se réfugier dans le déni, ils font feu de tout bois pour sauver ce qui peut l’être et se réfugier au Bout, la seule planète habitable de l’empire, en abandonnant le bas peuple à une mort lente dans ses stations artificielles.
Le premier roman de « L’Interdépendance », L’Effondrement de l’empire, a reçu en 2018 le prix Locus de meilleur roman de science-fiction et a été finaliste du prix Hugo.